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Tu sais.
15 août 2013

Le début de quelque chose. Ou la fin d'une autre.

La date qui marquait le un, l'an passé. Un juste milieu, entre deux périodes qui ont marqué ma vie.

 Un peu comme dans une portée, la barre qui sépare deux temps (enfin plus souvent quatre, ou deux, si mes souvenirs sont bons). Deux mouvements sont donc passés à présent, on rajouterait sur notre portée quelques silences pour que le calcul soit juste.

Mes souvenirs de solfège sont loins, mais mes souvenirs de toi, eux, sont juste là. Ils sont au chaud dans mon coeur. Ils sont au frais dans mon cerveau.

Ils ressortent par instant, comme des bulles qui s'envolent du petit rond qui les crée. Ils s'envolent et se cognent aux parois corporelles qui délimitent encore mon coeur, ou celles de mon cerveau. Je ne sais pas d'où ça sort, je constate juste leur existence.

Ce n'était donc pas un rêve. Pourtant j'aimerais que le temps soit en suspens, et que ces lignes de portées s'effacent doucement pour que notre mélodie ne connaisse pas de fin, que personne ne se rende compte que ce qui était n'est plus.

 Tous ces chiffres permettent de cristalliser ce moment, ni de début, ni de fin, mais d'amour vivant, d'existence avérée.

[http://www.youtube.com/watch?v=crxxXa66cEc] 100.000 remords. Manu Chao

 

 

 

 

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